Pourquoi la couleur ?
Parce qu’elle est relative, insaisissable, indescriptible, évolutive, personnelle, haptique, rémanente, sensuelle… Parce qu’elle appartient à la planéité et à la forme. Parce qu’elle compose, disloque et unifie. Parce qu’elle préexiste dans la matière ou apparaît grâce à la lumière. Parce qu’elle modifie le monde.
Parce qu’elle soulève des enjeux artistiques, scientifiques et techniques qui se trouvent être une pierre angulaire de la création.
La Couleur est partout. Elle est et entoure toute chose mais n’apparaît de manière similaire à personne. Comment l’utiliser ? Comment en parler ? Comment la comprendre ? Comment la faire évoluer ?
Ces questions, non exhaustives, ont donné lieu à un workshop entre deux sections appartenant à deux domaines des métiers d’art : la céramique et le textile. Les convergences et divergences entre les techniques ont permis la construction de six ateliers d’expérimentations où les étudiants ont pu interroger la relation de la matière et de la couleur en allant expérimenter des techniques qui n’étaient pas forcément les leurs.
Ce temps de travail commun a également été le lieu de l’interrogation et de la compréhension du faire de l’autre. La céramique et le textile se sont rencontrés, laissant apparaître convergences de procédés techniques, incompatibilités de fabrication et potentiels de transversalité. Les mots y ont joué un rôle important car le lexique de la technique permet la rencontre des praticiens et l’analyse des échantillons organisés en cinq pôles :
La domestication de la Couleur
Animer la couleur
La révélation de la couleur
De l’informe à la forme
Immatérialité
3 jours de workshop, 1 conférence, 6 ateliers (enduits vitreux, engobe et teinture terre dans la masse, réserves par cire, sérigraphie d'engobes, teintures chimiques & réserves/Shibori, magie des couleurs).
Pourquoi la couleur ?
Parce qu’elle est relative, insaisissable, indescriptible, évolutive, personnelle, haptique, rémanente, sensuelle… Parce qu’elle appartient à la planéité et à la forme. Parce qu’elle compose, disloque et unifie. Parce qu’elle préexiste dans la matière ou apparaît grâce à la lumière. Parce qu’elle modifie le monde.
Parce qu’elle soulève des enjeux artistiques, scientifiques et techniques qui se trouvent être une pierre angulaire de la création.
La Couleur est partout. Elle est et entoure toute chose mais n’apparaît de manière similaire à personne. Comment l’utiliser ? Comment en parler ? Comment la comprendre ? Comment la faire évoluer ?
Ces questions, non exhaustives, ont donné lieu à un workshop entre deux sections appartenant à deux domaines des métiers d’art : la céramique et le textile. Les convergences et divergences entre les techniques ont permis la construction de six ateliers d’expérimentations où les étudiants ont pu interroger la relation de la matière et de la couleur en allant expérimenter des techniques qui n’étaient pas forcément les leurs.
Ce temps de travail commun a également été le lieu de l’interrogation et de la compréhension du faire de l’autre. La céramique et le textile se sont rencontrés, laissant apparaître convergences de procédés techniques, incompatibilités de fabrication et potentiels de transversalité. Les mots y ont joué un rôle important car le lexique de la technique permet la rencontre des praticiens et l’analyse des échantillons organisés en cinq pôles :
La domestication de la Couleur
Animer la couleur
La révélation de la couleur
De l’informe à la forme
Immatérialité
3 jours de workshop, 1 conférence, 6 ateliers (enduits vitreux, engobe et teinture terre dans la masse, réserves par cire, sérigraphie d'engobes, teintures chimiques & réserves/Shibori, magie des couleurs).