Et si la mode était une histoire de mains ? « Seconde main », « petite main », « main » du tissu... Si le langage conserve la mémoire de ce lien intime entre la main, la couture et le vestiaire, elle semble pourtant bien absente des histoires de la mode. Comme si le vêtement pouvait exister sans les gestes qui le taillent, le cousent puis le boutonnent ; comme si la main était une part négligeable du corps de mode. De la main ornée, cachée, protégée ; de la main cousant, tricotant, façonnant ; de la main habile et de la main fatiguée ; de la main qui revêt et qui pare... les auteurs ont largement détourné leur regard. C’est pour lui rendre toute sa place dans cette histoire que Modes Pratiques a choisi d’y consacrer son sixième numéro. Il y sera question des gestes laborieux du tricot, du tissage ou de la broderie, de mains tatouées et tatoueuses, de mains ornées de gants invisibles ou gantées pour la boxe, des mains chapardeuses des pickpockets, des mains des domestiques ou des mannequins... Avec elles, la revue continue ici d’explorer l’ordinaire et l’élégance, le travail et la futilité qui font toute l’histoire de la mode.
La revue est en vente dans les librairies fin décembre 2024.
Vous pourrez l’acheter durant les journées portes ouvertes de l'École Duperré.
Vous pouvez l’acheter par correspondance, moyennant des frais d’expédition, en envoyant le bon de commande ci-dessous.
Et si la mode était une histoire de mains ? « Seconde main », « petite main », « main » du tissu... Si le langage conserve la mémoire de ce lien intime entre la main, la couture et le vestiaire, elle semble pourtant bien absente des histoires de la mode. Comme si le vêtement pouvait exister sans les gestes qui le taillent, le cousent puis le boutonnent ; comme si la main était une part négligeable du corps de mode. De la main ornée, cachée, protégée ; de la main cousant, tricotant, façonnant ; de la main habile et de la main fatiguée ; de la main qui revêt et qui pare... les auteurs ont largement détourné leur regard. C’est pour lui rendre toute sa place dans cette histoire que Modes Pratiques a choisi d’y consacrer son sixième numéro. Il y sera question des gestes laborieux du tricot, du tissage ou de la broderie, de mains tatouées et tatoueuses, de mains ornées de gants invisibles ou gantées pour la boxe, des mains chapardeuses des pickpockets, des mains des domestiques ou des mannequins... Avec elles, la revue continue ici d’explorer l’ordinaire et l’élégance, le travail et la futilité qui font toute l’histoire de la mode.
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