par les étudiant.e.s de DSAA image média éditorial 2e année : Olga Boiché, Émilien Lassance, Lucien Héritier, Salomé Perroton, Beatrix Johnstone, Matthias Valigny-Sabbagha, Margaux Desblé, Hugo Palayer, Anatole Rassu, Clara Ziegler, Léana Ippolito, Armand Croisonnier
Co-dirigé par Meriadeg Le Coustumer et Pierre Giner
Imprimé en risographie à l'École Duperré Paris
Papier cyclus Offset 70g et 115g.
Format A3
100 exemplaires
Duplicatas contre Répliques
Si la mue est la réplique ou le renouvellement d’une surface extérieure, la transformation qui s’opère augure toujours de légers décalages, des vibrations fines et nuances qui, sans que l’œil n’applique de comparaisons hâtives, jouent d’écarts plastiques et singularisent la matière régénérée.
Duplicata, dépouilles, couches, pellicules et peaux défaussées, le jeu de la risographie s’applique à déconstruire l’image et à apposer par synthèse les qualités intrinsèques du spectre de l’original comme dans un mouvement de ressacs, post-produits.
Du serpent à plume aux replicants, tout ce que Blade Runner charrie finalement, comme une fugue où les thèmes et notes sont répétés, indissociables de cet épuisement ou fatigue, la mue rejouée, peau vivante et paradoxalement morte, dépasse sa forme recopiée. Transmuée si l’on veut.
Le processus de duplication que porte le fanzine, et que le format éditorial Müe adopte, entre en résonnance avec les projets médiatisés et l’environnement, Umwelt, ou peau du monde que ces auteurs déploient. Échos à venir des diplômes, variations éditoriales d’archives et ou figures émergentes.
M. G. Buard
par les étudiant.e.s de DSAA image média éditorial 2e année : Olga Boiché, Émilien Lassance, Lucien Héritier, Salomé Perroton, Beatrix Johnstone, Matthias Valigny-Sabbagha, Margaux Desblé, Hugo Palayer, Anatole Rassu, Clara Ziegler, Léana Ippolito, Armand Croisonnier
Co-dirigé par Meriadeg Le Coustumer et Pierre Giner
Imprimé en risographie à l'École Duperré Paris
Papier cyclus Offset 70g et 115g.
Format A3
100 exemplaires
Duplicatas contre Répliques
Si la mue est la réplique ou le renouvellement d’une surface extérieure, la transformation qui s’opère augure toujours de légers décalages, des vibrations fines et nuances qui, sans que l’œil n’applique de comparaisons hâtives, jouent d’écarts plastiques et singularisent la matière régénérée.
Duplicata, dépouilles, couches, pellicules et peaux défaussées, le jeu de la risographie s’applique à déconstruire l’image et à apposer par synthèse les qualités intrinsèques du spectre de l’original comme dans un mouvement de ressacs, post-produits.
Du serpent à plume aux replicants, tout ce que Blade Runner charrie finalement, comme une fugue où les thèmes et notes sont répétés, indissociables de cet épuisement ou fatigue, la mue rejouée, peau vivante et paradoxalement morte, dépasse sa forme recopiée. Transmuée si l’on veut.
Le processus de duplication que porte le fanzine, et que le format éditorial Müe adopte, entre en résonnance avec les projets médiatisés et l’environnement, Umwelt, ou peau du monde que ces auteurs déploient. Échos à venir des diplômes, variations éditoriales d’archives et ou figures émergentes.
M. G. Buard